Ça y est, c’est fait, le Cheval Blanc St-Barth Isle de France ouvre ses portes aujourd’hui pour une nouvelle saison. Et cerise sur le gâteau, c’est le célèbre chef Jean Imbert qui prend la tête des fourneaux de la Case.
Un parcours exemplaire digne d’un jeune premier.
Né le 18 Juillet 1981, Jean Imbert a grandi dans une fratrie de trois garçons. Nourris avec des produits sains et sans fast-food, les garçons se régalent et découvrent chez leur grand-mère une certaine cuisine, une cuisine d’antan. Jean Imbert dévore les livres de cuisine, il décide alors de faire de sa passion, son métier.
Son bac en poche, il poursuit sa route de l’apprentissage de la cuisine avec une formation à l’Institut Paul Bocuse, à Lyon. Par la suite, il est embauché dans le restaurant doublement étoilé « Au rue de Balzac » de Michel Rostang puis dans le restaurant trois étoiles « Au Buerhiesel » d’Antoine Westerman. L’obtention de son diplôme en 2011 le mène dans les cuisines prestigieuses des chefs reconnus comme Eric Briffard et Marc Meneau. Ses expériences dans la haute gastronomie lui donne naturellement envie d’ouvrir son propre restaurant. À la tête du restaurant «L’Acajou» à Paris, depuis renommé «Mamie» où il cuisine des recettes gourmandes avec sa grand-mère.
Ensuite, les expériences télévisées ainsi que d’autres enseignes viennent compléter sa renommée de chef cuisinier, jusqu’à … Saint-Barth.
L’hôtel St Barth Isle de France est le premier palace hors France Métropolitaine, c’est la troisième maison à rejoindre la collection Cheval Blanc en 2014. C’est là dans cet écrin tropical en bord d’une des plus belles plages de Saint-Barth, à Flamands, que Jean Imbert pose ses couteaux. Il prend la tête de la Case.
Il crée ainsi, au sein de Cheval Blanc St-Barth Isle de France, une table qui illustre un ancrage local fort en cohérence avec une douceur de vivre si singulière à l’île de Saint- Barth. Guidé par les équipes, Jean Imbert a élaboré une carte inspirée des Caraïbes. Les épices des îles réchauffent les viandes et les légumes se marient avec douceur aux aromates cultivés sur l’île. Les poissons issus de la pêche locale se dégustent crus relevés par l’acidité des assaisonnements. Les fruits des Caraïbes et le cacao des îles environnantes sont au cœur de la carte des desserts.
Rien que d’écrire ces quelques lignes, il nous vient l’envie de courir y dévorer la carte, des yeux d’abord, ensuite avec notre palais… C’est certain, on vous en dira plus prochainement.